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Message par bravan Lun 23 Jan - 0:58

Bon, ce topic n'étant reservé qu'aux dessins, je créais cette sous-partie dans laquelle on pourra, dans la joie et la bonne humeur, poster écrits et com' hors-legendaires...
et je démarre avec un... fanart de left 4 dead, un jeu particulièrement violent dans lequel se cache certaines coulisses insoupçonnées.
Petit tour avec ce premier chapitre...
l'histoire demande une certaine connaissance, et si vous savez pas, servez-vous de google. c'est beau internet.




Le chasseur et la sorcière.

Un fanart de left 4 dead.


2015, prologue.
L'infection avait été rapide, vive et douloureuse. En un mois, plusieurs villes avaient sombrées dans le chaos et la destruction... Le manque de sécurité et l'impuissance des scientifiques ont causés des révoltes.
Les villes les plus en mal sont celles qui sont à moitié infectées. On préfère généralement être définitivement mort que d'avoir une horde de zombie hurlants sous sa fenêtre. Les cordons de protections ont été enfoncés.
L'humain à soudain été dépassé, et pour la première fois dans l'Histoire, il n'a pas réussi à s'adapter à son environnement.
Etrangemment, lorsque le virus débarqua en Europe, les gens ne cherchèrent pas à défendre les côtes, ou bien s'entre-aider.
Du début à la fin, ils se sont jalousement disputés les ressources.
Ironie du sort, les contrôles et les mises en quarantaine trop fréquents sont les essentiels causes des guerre civiles.
Aujourd'hui, le dernier éspoir de l'Homme est l'Australie. Reculé, ce continent a résister aux vagues succesives de zombies jusqu'à former une armée d'extermination lourde. Composée de survivants de tous les pays, elle défend le territoires Australien depuis maintenant quatre ans. Les éminents scientifiques du pays dévellope en ce moment un remède contre le virus, alors que certains hésite encore entre un produit qui rendrait aux zombies leur vrai visage, ou un autre qui détruirait absolument tout, éffaçant toute menace.

2015, l'année de l'espoir, l'année de la mort, l'année du massacre.


Jack, mort parmis les morts, premier chapitre.

Jack balaya du regard la ville en ruine sur laquelle se déposait un fin voile de poussière.
En contrebas de l'immeuble, les silhouettes quasi-immobilles parcouraient les rues.
Jacke savait que si il voulait fuir cette ville, il n'avait qu'à se lever et courir, personne ne l'en empêchait. Mais dans un autre ville, ce serait la même choses, des zombies, partout. Ils ne se déplaçaient pas de villes en villes, ils erraient oisivement se percutant parfois, ce qui créeait des bagarres fort brève et au final peu distrayante. C'était une vie molle, ennuyeuse et longue.
Malgrès tout, Jack se désignait comme humain. Il lisait depuis longtemps un livre qu'il avait pris sur le cadavre d'un survivant. Cet ouvrage résumait les ''différentes'' sortes de zombies.
Et aussi la manière dont il fallait les tuer. Jack n'aurait jamais cru que Peter était un ''smoker'' et qu'il était lui-même un ''chasseur''.
Le livre parlait d'un tas d'autre choses, comme des cachettes que Jack n'avait encore jamais trouvé, ou encore des moments de solitudes de l'auteur.
Ce qui faisait que Jack se prenait pour un humain, c'était qu'il se souvenait parfaitement de sa vie antérieur. Sa famille, sa mère, son père...
Au grè de l'infection, le cerveau pouvait être sèveremment touché, mais le chasseur a été chanceux.
Il fit craquer ses doigts griffus et s'apprêta à descendre du toit quant une sensation désagréable le retint. Il compressa ses mains contre son pantalon en se désolant d'avoir une vessie.

''Putain, pas maintenant!''

Normalement il aurait fait comme un zombie normal: il se serait pissé dessus sans s'en rendre compte. Mais voilà, il n'était pas un zombie comme les autres, et malgrès le mépris qu'il exprimait pour tous ces sales chiens errants, il ne ferait pas sur eux.
Il ouvrit à la hâte une trappe et descendit une échelle, puis un escalier. En ouvrant une porte qui donnait sur des zombies sans cervelle, il soupira, mais s'excusa tout de même en les bousculant pour aller aux waters.

-Pardon, bonjour, pardon, pardon, excusez-moi, désolé...

Il s'enferma dans les toilettes de peur qu'on vienne le déranger et dans un ''zip'' sonore, il sortit l'engin pour un acte tout à fait banal.
Son sifflotement détendu fut interrommpu par des pleurs.
En sortant des toillettes, il rencontra Peter, qui lécher avec amour les vitres de l'immeubles.

-Arrête ça, idiot, dit Jack. Qui est-ce qui pleure comme ça?

Peter se retourna et cligna de l'oeil (l'autre étant réduit à un moignon pourri).
Jack ne pouvait s'empêcher d'avoir du dégout pour son camarade. Des sortes de bubons grouillants de vie parcouraient son corps, son visage... et cette langue.
Une langue d'une longueur que Jack n'avait jamais osé vérifier, il savait juste qu'il s'en servait pour attraper ses victimes. Et il n'attrapait pas que des insectes.

-Sûrement une fille toute seule, répondit-t-il.

Il était vrai que les pleurs étaient féminins, mais surtout, ils semblaient rebondir sur les murs et atteindre ses oereilles.

-Sa me saoûl, commenta Jack avec un rictus agaçé.
-Moi aussi. On va lui dire de la fermer?
-Ou alors on va la consoler...
-Tu m'énerve avec tes idées en coin!
-J'ai pas d'idées en coin!

Rabattant sa capuche, Jack tourna les talons en grognant. Il chercha la souce du bruit agaçant et la trouva. Derrière une porte d'acier, il pouvait presque entendre les larmes gouttées.
Manque de bol, il s'était arrêter à la page 94 de l'ouvrage du survivant. Et à la page 95, il y avait un article détaillé sur les witchs.
Sans réfléchir, il ouvrit la porte, laissant pénétré un filet de lumière dans la pièce sombre. Son imposante silhouette se détachait nettement sur le sol.
Il fit un pas en avant et stoppa. Devant lui, une jeune fille blonde à la peau pâle était recroquevillée sur elle même et se couvrait le visage de ses longs doigts rouges.
Il déglutit en continuant d'avancer pour une raison qu'il ignorait. Peut-être parce qu'il avait réellement des idées derrière la tête.
A pas feutré, il s'approcha et s'accroupi devant elle.

-Hé, murmura-t-il. Qu'est-ce qu'il y a? Pourquoi tu pleure comme ça?

Elle écarta les doigts, dévoilant un visage fin et doux. Ses yeux bleus trahissaient l'humanité que recherchait Jack. Ils étaient baignés de larmes et ne demandaient qu'à êtres éssuyé.
Elle ne dit rien, et resta immobile un long moment. Elle esperait (ce qui était normal de la part d'une witch) que Jack fasse un mouvement de trop, un geste trop brusque mais sa main continuée de progresser, lentement, lentement, lentement...
Avant de se poser sur sa tête blonde. Elle ferma les yeux, ne voulant pas voir le sourire bienveillant du zombie se dessiné sur ses lèvres couvertes de sang.

-Laisse moi, souffla-t-elle. Je veux être seule...
-Ici? Remarqua-t-il. Il fait froid, sombre, c'est humide... viens chez moi, j'ai de quoi mangé et un petit ab...
-Chez toi? L'interrompit-elle. Tu as un...chez toi?

Il retira sa main de ses cheuveux et essuya les larmes qui roulaient sur sa joue.

-Comment tu t'appelle?
-Laura...

Un coup de feu les interrompis. Puis plusieurs détonations et hurlements.
Des infectés passèrent devant la porte en courant avant d'être projetés en arrière. Le chasseur se plaqua sur laura et elle étouffa un cri de surprise. Une violente explosions secoua les fondations du monde et un souffle chaud vint jusque dans la veste de Jack et lui brûla le dos.

''Des humains, pensa-t-il. Putain, des humains.''

-On doit pas rester là, cracha-t-il en montant Laura sur ses épaules. On se tire, et vite!

Elle n'eut pas le temps de se débattre ou même de protester. Ils bondirent dans les flammes de l'enfer en dérappant sur des viscères. Les zombies tombaient les uns après les autres autour d'eux.
Les balles fusèrent aux oreilles de Jack et il accélera, encore, encore, encore...
Il allait vite, trop vite dans les couloirs d'un immeuble. Mais il sentait la mort le rattrapé.
Un escalier, une échelle, une trappe... Il bondit sur le toit et tomba à genoux, épuisé. Lentement, Laura descendit de son dos et s'assit sur le béton. Ses yeux étonnés, voire stupéfaits portés uniquements sur Jack, à quatre pattes, haletant.
Elle avait déjà tué quelqu'un, quelqu'un qui l'avit effrayée. Mais là, elle c'était presque laissée faire.
Il avait failli mourir, mais pas pour la sauvée elle, juste pour ce sauver lui.
Elle fronça les sourcils.
Il y avait des humains ici, et ça, c'était la pire des nouvelles.


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